Avez-vous remarqué que depuis quelques années nous ajoutons souvent un suffixe avant les verbes d’action? Ces nouvelles expressions telles que « cocréer », « coworking » ou « colunching » font maintenant partie de notre vocabulaire.
On parle beaucoup de méditation et de pleine conscience! Signe des temps, n’importe quelle bonne librairie a désormais sa section dédiée au sujet, et le mot pleine conscience semble être le sésame pour rendre n’importe quelle activité irrésistible. Pour y voir plus clair et comprendre son potentiel, notre collaboratrice, Marie Ève Lécine, conseillère d’orientation et professeure de méditation, nous explique ce qu’est la méditation. Marie Ève anime notamment les Rendez-vous méditation au Monastère et donne des sessions de formation pour le grand public.
Le métier d’archiviste peut parfois ressembler à celui de détective. En effet, certains documents d’archives donnent suffisamment de fils à retordre aux chercheurs, notamment lorsque les informations sont éparpillées sur plusieurs documents. Dès lors, une investigation s’avère nécessaire. Pour illustrer le phénomène, voici un exemple simple, mais révélateur, d’une recherche réalisée par les archivistes Audrey Julien et Annie Labrecque. Ces dernières ont retracé le parcours d’une machine à laver à l’aide de lettres écrites par des Augustines au 19e siècle.
Du 28 au 30 décembre 2018, Lyne St-Roch donnera sa 11e retraite au Monastère des Augustines. Elle sera accompagnée de Manon Lavoie, auteure et coach certifiée en créativité, pour la retraite « Le grand dépouillement – Yoga & créativité ». Pour l’occasion, l’équipe du Monastère a souhaité lui poser quelques questions sur cette retraite.
Tous les mois, les équipes de la Réserve muséale et du Centre d’archives du Monastère sélectionnent un objet parmi le riche patrimoine matériel légué par la communauté des Augustines. En vedette, ce mois-ci, une immense cafetière.
Les 14 et 21 septembre 2018, nous recevions au Monastère environ 150 étudiantes[1] au baccalauréat en sciences infirmières de l’Université Laval (Québec) accompagnées de leur professeure Mme Diane Tapp et de son équipe. Leur visite au Monastère s’inscrivait dans le cadre d’un projet-pilote s’insérant lui-même au sein du cours intitulé Soins palliatifs et enjeux éthiques[2].